Vol en Wingsuit

Un wingsuiter, qu’il saute d’un avion ou d’une montagne, déploiera un parachute vers la fin de sa descente car un wingsuit seul ne peut pas fournir suffisamment de portance pour atterrir sans causer de BLESSURES GRAVES OU LA MORT (à l’exception de l’atterrissage de Gary Connery dans une PLATE-FORME EN CARTON). L’altitude est surveillée à l’aide d’un ALTIMÈTRE monté à la main et d’un avertisseur sonore conservé dans le casque. Le contrôle d’un parachute nécessite de libérer les bras pour atteindre les freins (lignes de commande) et l’aile de jambe doit également être décompressée pour pouvoir courir pendant l’atterrissage.

Il est généralement admis que le wingsuiting ajoute un certain degré de complexité au parachutisme, avec des risques tels que des rotations à plat (rotation incontrôlable), des bourrasques (un vortex dans la zone de déploiement du parachute), des impacts de queue (frapper la queue d’un avion à la sortie), des torsions (un parachute en rotation), du matériel supplémentaire à gérer lors d’un dysfonctionnement et des difficultés à dépressuriser les ailes avant le déploiement du parachute. On sait que le fait de ne pas gérer ces problèmes cause des blessures mortelles.

Un intérêt croissant pour le wingsuiting ces dernières années a conduit à l’adoption d’un certain nombre de DISCIPLINES par les parachutistes. Il s’agit notamment de l’ART (acrobatique), de la PERFORMANCE, du XRW (formations en parachute / wingsuit), du FLOCAGE (vol de groupe), du WINGSUIT DE BASE et du VOL DE PROXIMITÉ. Différents modèles / tailles de combinaisons sont utilisés en fonction de la discipline pratiquée et de l’expérience du wingsuiter. LIRE LA SUITE…

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